Après la rue, l’école, la prison, le monde du travail peut devenir le lieu de la bataille des islamistes radicaux. Le sujet de la radicalisation et du terrorisme en entreprise a eu la meilleure audience auprès de nos correspondants journalistes en ce début d’année 2021.
En février, au moment des discussions de la loi « confortant le respect des principes républicains », nous avons rebondi sur cette actualité dans la brève envoyée aux journalistes qui nous suivent.
Le constat est là. Dans la plupart des cas, les revendications communautaristes ne sont pas prises en compte par les managers. Et même si les entreprises voulaient prévenir les risques de radicalisation, elles n’en ont pas les moyens juridiques. La règle est « pas de discrimination » et les entreprises ne peuvent pas vraiment agir. Souvent, en leur sein, la sécurité antiterrorisme est également défaillante. Sans oublier que la barbe, tendance depuis quelques années, n’est pas l’apanage des terroristes islamistes…